« Tout le monde a le cul merdeux. C’est pour ça qu’on n’en parle pas, de cette guerre » : Jacques Inrep, un ancien d’Algérie face à soixante ans de non-dits (Le Monde M)

Envoyé en Algérie en 1960, Jacques Inrep en est revenu brisé, hanté par les horreurs d’une guerre qui ne disait pas son nom. L’ouvrier devenu psychanalyste, 82 ans, a su trouver les mots pour panser ses blessures. Mais contrairement à lui, la plupart des vétérans restent prisonniers d’un silence mortifère. […]