Au sommaire du prochain numéro d’Ancrage
Parcours de vie
Algérie
ROBERT LACOSTE : le ministre résident de la fracture algérienne
Vietnam
NGUYEN-PHUOC XUAN-TU: Les secrets de la princesse
NGUYEN : une dynastie de combattants
Portrait d’artistes du monde (2)
SALVATORE CAPUTO : Chef de cœur à choeur
REQUIEM DE TEREZIN
Jean-Louis Dellas : vous devez me donner votre âme
TEREZIN ET GAZA
Salvatore Caputo : « Des conséquences séculaires »
Italie
LES FRÈRES PESTRIN : Communistes et fiers de l’être
Anatolie /Turquie
YAHVUZ : L’amoureux des steppes
HATICE LA REBELLE : Le chant du père
Reportage
TRAVAILLEURS INDOCHINOIS
Les Oubliés de l’Histoire : Un travail de mémoire à suivre …

Les notes de voyage Françoise Escarpit
Retour d’Argentine et du Chili
Mémoire des livres
Qu’est ce qu’un français ?
Algérie 1960. Journal d’un appelé.
Le manuscrit oublié de Bernard Ponty
Les contes Kabyles de Yéma Khadoudja
D’origine originale
Tu viens d’ou ?
Mémoires de guerre :
Le coucou chante en mai
Larmes de guerre, larmes d’amour
D’une guerre l’autre : un instituteur républicain.
3 Responses
This article offers a captivating glimpse into diverse cultures and histories through its profiles and reports. The mix of personal stories and historical reflections provides a rich and thought-provoking read. Highly engaging!
Ce numéro est une véritable plongée dans la diversité humaine ! Jai été particulièrement touché par les portraits dartistes comme Salvatore Caputo et Jean-Louis Dellas, qui rendent palpables les souffrances et les résilences de leurs peuples. Les reportages sur Terezin et Gaza sont dune intensité bouleversante, tout comme la testimony des Indochinois oubliés. Françoise Escarpit offre une touche personnelle avec son retour en Argentine, et les mémoires algériennes et de guerre donnent une dimension historique poignante. Cest un travail de mémoire passionnant, où les histoires se tissent pour mieux nous rappeler notre humanité partagée. Un read indispensable !
Cest avec un mélange dadmiration et daboiement que jai parcouru ce fascinant numéro ! Les portraits de Caputo et Dellas sont si touchants quon en ressort avec la tête pleine de丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘丘。 Les reportages sont dune intensité such that one might need a tranquillizer after reading them! Bref, un numéro qui fait réfléchir, et pas seulement sur où poser son assiette pour le dîner. Highly engaging indeed, even if one does shed a tear for the poor Indochinois forgotten by history… and perhaps their recipes!