Reportage photo Ancrage JF Meekel

Chaque année pour le 11 septembre, date anniversaire du coup d’état de Pinochet au Chili, les chiliens de Pessac, de Bordeaux et de Gironde se réunissent le long du mur d’enceinte du stade de Saige Formanoir devant la fresque peinte par les exilés politiques il y a 40 ans et régulièrement rafraichie. Mais en cette année 2023, cette commémoration du cinquantenaire du coup d’état de l’extrême droite soutenu par les États-Unis et la CIA, a pris une tournure plus solennelle encore, plus émouvante. Ni oubli, ni pardon est-il rappelé souvent et en particulier par des jeunes de 2eme et 3eme générations. Des témoignages en ce sens se sont succédés entrecoupés de chansons, celles de Victor Jara et des poèmes de Neruda mis en musique.

Visite commentée de la fresque par le président de l’association qui entretient ce lieu de la mémoire (Ph Ancrage JFM)
Pour ce cinquantenaire, une plus large assistance qu’à l’accoutumée (Ph Ancrage JF M)
“Ni oubli ni pardon” Ph JFM
Enzo Villanueva, cheville ouvrière (PH JFM)
(Ph JFM)
Témoignage père et fils, ce dernier né un 11 septembre (Ph JFM)
Témoignage 3ème génération (Ph M V)
Témoignage de grand-mère notamment sur les 3 ans d’UP et son petit-fils pour une chanson adaptée d’un poème du grand-père (Ph MV)
(Ph Ancrage JFM)

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