PIETRO LE REBELLE DE SAN GIORGIO

Originaires du Frioul en Italie, Pietro Grego, son épouse Maria, et leurs six enfants ont quitté le pays natal en février 1925, pour les départements de Gironde puis de Lot et Garonne.
A la soumission au fascisme Pietro qui avait combattu pour la liberté de son pays a préféré l’exil.
Sa lignée française compte aujourd’hui plus d’une centaine de descendants. Pietro repose aujourd’hui en terre française. Il a conservé la nationalité italienne jusqu’à son dernier souffle. Mais n’a jamais voulu revenir au pays natal

LES RÊVES DE CLEMENTINA

Clementina Hernandez était une enfant pendant la guerre civile espagnole. Elle était âgée de 6 ans en 1936.
Originaire d’Albacete elle a connu la répression franquiste en Espagne, avant de pouvoir rejoindre son père, exilé en France, en 1948. Dix années de séparation faites de brimades, menaces, privations avant d’obtenir le précieux visa autorisant la sortie du territoire espagnol.

JEAN PIERRE DE VINCENZI, L’EUROPÉEN DE PUYMICLAN

Il est français de nationalité. Italien de sang et Européen de cœur. Cadre technique à la fédération française de basket, Jean Pierre de Vincenzi, natif de Puymiclan en Lot-et-Garonne, entretient des liens privilégiés avec les pays latins.

LE LOT-ET-GARONNE PREMIER DÉPARTEMENT D’ACCUEIL DES ITALIENS

En 1936, le Lot-et-Garonne accueille 18559 Italiens. C’est le premier département d’accueil des Italiens du Grand Sud Ouest (Aquitaine et Midi Pyrénées) où l’on recense 83462 compatriotes transalpins.

DES VISAGES SUR LES NOMS

Toute sa vie durant, Katarina a entendu sa mère, Clotilda, évoquer sa famille restée en Slovénie. 60 ans après, de retour au pays natal, une fois les frontières de l’Est ouvertes, Katarina a pu enfin mettre des visages sur les noms.

1936- LA FRANCE CE BEAU PAYS

Le soulèvement des fascistes en Espagne et le début de la guerre civile suscitent de nombreuses prises de position en Lot-et-Garonne.

1939- L’INCITATION AU RETOUR

Le préfet du Lot-et-Garonne, Jules Cumenge, fait enfermer les combattants républicains espagnols dans les camps de concentration et incitent les exilés à revenir en Espagne

AU SOMMAIRE AUSSI

Les oubliés des chantiers de jeunesse (première partie).

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